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Weber sisters (The) / Wolfgang Amadeus Mozart
Musique audio
Edité par Warner Classics - 2015
Mozart fut amoureux des trois soeurs de la famille Weber au sein de laquelle il vécut longtemps. Véritables symboles de l'éveil amoureux du compositeur, Josepha, Aloysia et Konstanze furent ainsi présentes dans toutes les étapes des quatorze années restantes de sa courte vie. Trois femmes, trois muses, trois voix, comme autant de visages de Mozart trouvant sa liberté dans l'inspiration de l'être aimé, et nous permettant un voyage au coeur de certaines pages vocales les plus bouleversantes, hardies et périlleuses, naïves ou tourmentées, d'un des compositeurs ayant le mieux dépeint le sentiment humain. Le tout transcendé ici par la voix de cristal de Sabine Devieilhe.
Prologue, la confidence naïve, ou l'attente : Les petits rien, K.299b (Ouverture). Prologue, la confidence naïve, ou l'attente : Ah, vous dirais-je maman. Prologue, la confidence naïve, ou l'attente : Dans un bois solitaire, K.308. Prologue, la confidence naïve, ou l'attente : Pantalon und Colombine (Adagio). Aloysia, mia carissima amica : Alcandro la confesso... Non so d'onde viene, K.294. Aloysia, mia carissima amica : Vorrei spiegarvi, oh Dio, K.418. Aloysia, mia carissima amica : Popoli di Tessaglia... Io non chiedo, eterni dei, K.316. Aloysia, mia carissima amica : Nehmt meinen Dank, K.383. Josepha, ou l'entrée dans la lumière : Adagio, K.410, fa majeur. Josepha, ou l'entrée dans la lumière : Schon lacht der holde Frühling, K.580. Josepha, ou l'entrée dans la lumière : Die Zauberflöte, K.620, Der Hölle Rache. Josepha, ou l'entrée dans la lumière : Thamos, König in Ägypten, K.345, Entracte. Per mia cara Costanza : Die Zauberflöte, Marsch der Priester. Per mia cara Costanza : Solfeggio N°2, K.393, fa majeur. Per mia cara Costanza : Messe, K.427, ut mineur (Et incarnatus est).
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